Vue de San Regis (prise du chateau d'eau)14 mai :
Nous partons avec Joseluis a San Regis, le fameux village, situe dans la province de Chincha, au sud de Lima.
15-16-17 mai :
Nous rencontrons les « socios » (membres de l’association) pour obtenir les informations dont nous avons besoin pour l’etude, divisee en plusieurs parties :
- Informations personnelles
- Informations familliales
- Situation economique de la casa
- Situation agricole / travail
- Informations sur la casa (maison)
- Sante
Au fur et a mesure des entretiens, nous nous rendons compte que la plupart des membres ne sont pas agriculteurs, mais employes de grosses cooperatives ou entreprises agricoles, et ainsi, ne peuvent pas beneficier du PCC.
De plus, les agriculteurs du village ne sont en general pas proprietaires de leurs terres, mais ils les louent pour les travailler, ce qui les rend ineligibles pour le PCC.
Enfin, une bonne moitie est en cours de remboursement d’un pret, ce qui les elimine d’office de la liste possible des demamdeurs...
Bref, sur 50 membres, seuls 4 ou 5 sont susceptibles de pouvoir beneficier du PCC.
Mais la, autre probleme, il faut minimum 25 membres proprietaires de terre dans une association, pour que celle-ci puisse soumettre une demande au gouvernement.
Maintenant, nous allons essayer d’elargir notre champ d’action aux villages alentours, pour essayer de trouver des proprietaires exploitants, afin d’atteindre le nombre de 25, qui conditionne l’acces au PCC.
Mais cette etude nous a au moins permis de prendre conscience des difficultes rencontres par la population peruvienne de la campagne.Les fins de mois sont difficiles pour beaucoup, car souvent les familles comportent 4 ou 5 enfants, la femme reste a la maison pour s’en occuper, et seul l’homme travaille. Dans cette situation, avec un salaire minimun de 550 soles/mois (152€), les familles ont du mal a s’en sortir.
Heureusement, beaucoup sont proprietaires de leur maison. En effet, apres le tremblement de terre d’aout 2007, une grande majorite a pu beneficier d’un module en briques de 30m2, sur lequel vient souvent se greffer une partie construite en adobe (brique de terre sechee au soleil).
Bref, c’est pas le paradis, mais les gens sont tout de meme tres sympathiques et tres gentils.
Nous partons avec Joseluis a San Regis, le fameux village, situe dans la province de Chincha, au sud de Lima.
15-16-17 mai :
Nous rencontrons les « socios » (membres de l’association) pour obtenir les informations dont nous avons besoin pour l’etude, divisee en plusieurs parties :
- Informations personnelles
- Informations familliales
- Situation economique de la casa
- Situation agricole / travail
- Informations sur la casa (maison)
- Sante
Au fur et a mesure des entretiens, nous nous rendons compte que la plupart des membres ne sont pas agriculteurs, mais employes de grosses cooperatives ou entreprises agricoles, et ainsi, ne peuvent pas beneficier du PCC.
De plus, les agriculteurs du village ne sont en general pas proprietaires de leurs terres, mais ils les louent pour les travailler, ce qui les rend ineligibles pour le PCC.
Enfin, une bonne moitie est en cours de remboursement d’un pret, ce qui les elimine d’office de la liste possible des demamdeurs...
Bref, sur 50 membres, seuls 4 ou 5 sont susceptibles de pouvoir beneficier du PCC.
Mais la, autre probleme, il faut minimum 25 membres proprietaires de terre dans une association, pour que celle-ci puisse soumettre une demande au gouvernement.
Maintenant, nous allons essayer d’elargir notre champ d’action aux villages alentours, pour essayer de trouver des proprietaires exploitants, afin d’atteindre le nombre de 25, qui conditionne l’acces au PCC.
Mais cette etude nous a au moins permis de prendre conscience des difficultes rencontres par la population peruvienne de la campagne.Les fins de mois sont difficiles pour beaucoup, car souvent les familles comportent 4 ou 5 enfants, la femme reste a la maison pour s’en occuper, et seul l’homme travaille. Dans cette situation, avec un salaire minimun de 550 soles/mois (152€), les familles ont du mal a s’en sortir.
Heureusement, beaucoup sont proprietaires de leur maison. En effet, apres le tremblement de terre d’aout 2007, une grande majorite a pu beneficier d’un module en briques de 30m2, sur lequel vient souvent se greffer une partie construite en adobe (brique de terre sechee au soleil).
Bref, c’est pas le paradis, mais les gens sont tout de meme tres sympathiques et tres gentils.
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